L’amour en culottes courtes

Présentation :

Ce matin-là, il est parti… Cécile est restée.

Guillaume, son ami d’enfance, son amoureux devenu son amant n’est plus qu’un rêve, une douloureuse nostalgie, un précieux refuge parsemé de tendresse et d’amour mais il reste un péché… Bien vivant… Il se prénomme Juliette.

Juliette c'est ma grande sœur et moi c'est François, j’ai 16 ans et, hier soir, pour la première fois, j’ai embrassé une fille sur la bouche !

Je suis perturbé par tout cela, par tous ces mystères.

D'ailleurs, tout ce qu'on cache… Les filles sous leurs robes et les garçons dans les culottes courtes… C'est sale, faut pas en parler, faut même pas y penser !

Et nous, quand on sera grand, avec notre quéquette... On nous jettera des seaux d'eau, comme aux chiens ?

Délicieuses douleurs des premiers émois, des premières caresses, des plaisirs solitaires... Mais chut ! Faut pas le dire !

Et les Grands, parlons-en !

Rosalie, la belle Rosalie, ouvrière au tissage, elle a attendu sagement son Jeannot, son amour, retenu prisonnier et blessé…

Pourtant, elle sera agressée, insultée, tondue

Et Michel Leroy, voyageur sans bagage, il arrive de temps à autre, au train du matin et repart le lendemain… Bizarre non… ?

On a retrouvé le corps du père Bauvey dans un étang… Inquiétant…

Et Fany, la Petite de l'Assistance... elle est allongée, mourante, sur un lit d'hôpital… Et tout le reste… !

Le quotidien des années 50, dans une ferme de chez-nous !

La vie tout simplement, emballée vite fait dans du papier journal, comme ça, sans chichis, sans rubans… 

316 pages de surprises, d'humour, de tendresse dont on manque tant aujourd'hui...

À déguster, le coeur barbouillé d'émotions...

Cher Papa

Présentation

Septembre 1966
Je pars à l’autre bout du monde, les poches vides.

Je délaisse mes amis qui semblent en peine, mes amours que déjà je pleure, mes emmerdes qui, loin de moi, s’ennuieront sûrement.

Je ne supporte plus cette vie… Peut-être l’usure des vaisselles quotidiennes…

Peut-être aussi que j’attends autre chose de la vie ? Mais quoi ? Je ne le sais pas moi-même.

Le courage de partir ainsi n’est-il pas la forme la plus aboutie de l’inconscience ?

Je quitte mon cocon, ma femme, ma fille, elle a 2 ans…

Papa ! Papa ! Comment peut-on vivre sans entendre, encore et encore ces paroles magiques ?

Après tous ces questionnements, cette histoire s’écrira en lettres d’or !

Comment ne pas perdre la tête

Présentation:

Louis s’est senti attiré par cette délicieuse… « plus que copine » d’école, devenue une jeune fille de 18 ans fort séduisante. Mais, ce soir, la bonne fée rôdait dans les parages. Elle avait bien remarqué l’attirance de ces deux jeunes gens l’un pour l’autre… Elle frôla Jeanne et Louis de sa baguette magique… Ils se regardèrent longtemps… longtemps… longtemps et jurèrent, dès cet instant, de ne plus se quitter, jamais !

Ils apprirent à « s’aimer pour toujours » !

Mais, la Grande Histoire troubla cette félicité....

Dans un grand vent de nous…

Présentation

Il est l'heure de partir. Jean-Louis le taxi, ne va plus tarder.

L'heure aussi de dire au revoir à Mimine, elle qui, comme moi, conserve tous nos souvenirs d'enfance et de jeunesse, dans le secret de son intimité.

Elle m'attend devant chez elle, dans la cour de l'entreprise. Mimine, mon amie depuis toujours, la maman de nos deux "enfants en celluloïd"…

À ce moment précis, je me rends compte de tout ce qu'elle a été, ce qu'elle est toujours pour moi... Oserais-je dire « mon amour » ?…

Oui, en effet, çe doit être cela… Je m'approche d'elle, rempli de tristesse, envahi par la douleur d'un profond malaise… Nous savons, tous les deux, que ce moment sera comme une fin... "Une fin de nous deux",

La fin de notre monde à nous.

Sans un mot, on se regarde longuement, le cœur au bord des yeux et on s'embrasse, tendrement, sur la joue, comme les gosses…

On s'est simplement dit, en silence, « je t'aime »… le "je t'aime des enfants" , celui qui ne meurt jamais… !

Maître d’école tout simplement

Présentation

L’école de papa…

Pour apprendre à lire à un enfant on n’a pas besoin de fric, de diplômes universitaires délirants. Un maître d’école, avec son cœur, une envie, un morceau de craie, une formation bien pensée suffit.

Aujourd’hui, la France a mal à son école.

Les politiques pensent à leur avenir, à leur place, à leur portefeuille… Les syndicats veillent sur les intérêts de leurs militants… Les parents rêvent de lauriers pour leurs « petits génies »… Les professeurs tentent de se protéger des injures, des coups, et c’est nouveau, des assassins !

Depuis l’assassinat de l’École Normale et de la formation, que de sottises, que d’âneries et de temps perdu. Les marchands d’illusions de Mai 68 sont passés par là… « Il est interdit d’interdire ! » Et maintenant on fait quoi ? On fait comment ?

meuh-cancoillotte.fr

Extraits :

La plupart des villages ne comprenaient que des fermes plus ou moins importantes, alignées comme des petits soldats le long de la « Grande Rue ». Depuis le début des années 60…

1964…

Ils quittent un à un le pays

Pour s’en aller gagner leur vie

Loin de la terre où ils sont nés

Depuis longtemps ils en rêvaient

De la ville et de ses secrets

Du formica et du ciné….     Jean Ferrat

La prestigieuse Académie Française, soucieuse de dépoussiérer, renouveler, rajeunir, moderniser… cette pauvre langue française se rangera sous la bannière des technocrates qui officient dans les méandres du Ministère de l’Éducation Nationale manifestement attentifs aux progrès considérables nécessaires à la transmission de notre chère langue française… Enfin modernisée !

Noir et Blanc, la couleur des années 50

Présentation

Noir et Blanc, le quartier des Cités… l’usine, la rue, les bistrots à chaque coin de rue, pour oublier d'oublier…

Les joies, les douleurs, les coups de gueule, la tendresse… flotte ici la saveur de la vraie vie.

Lucie, occupée aux travaux des champs souffre terriblement de l’absence de sa petite Léa, la chair de sa chair, chassée de la maison… Pourtant, ce n’était qu’un flirt… Un secret de famille s’est réveillé…

« Fous l’camp, disparais de ma vue » ! Sans mot dire, mon père repliait lentement la lame de son opinel avant de partie au jardin… Il pleurait dans son cœur, des larmes enfouies dans cet univers peuplé de paradoxes…

Euphorique ivresse d’interdits, les décolletés de Gina Lollobrigida et de Brigitte Bardot affolaient les compteurs de nos pulsations cardiaques !

L'Adolescence.. À 18 ans, mendiants de tendresse et d’amour, nos rêves se nourrissaient de l’improbable parfum du       "Bonheur à Deux"

Même en Noir et Blanc, les mots d’amours souvent platoniques, se parent de la couleur des rêves…

Nous, les ventres à patates  17€

Écrit par Jean Pierre Biot et promu sur France 2

17€ - 225 pages - ISBN : 978-2-918883-36-4

Présentation :

Quelques mousserons, un quignon de pain, une plume de geai, une poignée de noisettes… Dans la musette de mon père, parmi ces miettes de vie, j’en ai trouvé des souvenirs ! Toutes les saveurs et les richesses d’un passé qui a oublié de refermer la porte en sortant.

Cette porte qui claque, le lait qui se sauve sur le feu, le givre sur les fenêtres, les chaussettes qui tombent, les gosses qui braillent... La vie !

Les taloches qui pleuvent, le père qui gueule, la mère qui pleure, le seau hygiénique derrière la porte... La vie !

Ce « gibier de potence » né de qui ? né de quoi ? né de rien... Ces "gens de peu", filles ou fils de personne... Ils ont, eux aussi une histoire, celle des Ventres à Patates. 

De 1939 à 1958... Le temps des possibles impossibles.